Nous mentirait-on?

La NSA est devenu la plus grande agence de renseignements la plus secrète, et potentiellement  plus intrusive jamais.

L'air de printemps dans la petite ville de sable saupoudré présente un trouble doux pour elle, et des touffes de froissement armoise vert-gris dans la brise. Bluffdale se trouve dans une vallée en forme de cuvette dans l'ombre de l'Utah Wasatch Range à l'est et les montagnes Oquirrh à l'ouest. C'est au coeur du pays Mormon, où les pionniers religieux arrivés plus de 160 ans. Ils sont venus pour échapper au reste du monde, pour comprendre les paroles mystérieuses envoyées vers le bas à partir de leur dieu comme l'a été révélé sur des plaques d'or enterrées, et pour pratiquer ce qui est devenu connu sous le nom «le principe», le mariage à plusieurs épouses.

Aujourd'hui Bluffdale abrite une des plus grandes sectes de la nation de polygames, les Frères apostoliques Unies, avec la hausse de 9000 membres. Les frères complexe comprend une chapelle, une école, un terrain de sport, et une archive. L'adhésion a doublé depuis 1978-et le nombre de mariages multiples a triplé alors que la secte a été récemment la recherche de moyens pour acheter plus de terres et d'étendre dans toute la ville

Mais de nouveaux pionniers ont tranquillement commencé à se déplacer dans la zone, de l'extérieur secrets qui disent peu et garder pour eux. Comme les polygames pieuses, elles sont centrées sur le déchiffrage des messages cryptiques, qu'eux seuls ont le pouvoir de comprendre. Juste à côté de la route de bœuf creuse, moins d'un mile du siège frères, des milliers de travailleurs de la construction en dur casquette de imbibés de sueur T-shirts sont à jeter les bases pour le temple de des nouveaux arrivants propre et d'archivage, un vaste complexe si grand qu'il a nécessité l'expansion de la ville limites. Une fois construit, il sera plus de cinq fois la taille du Capitole des États-Unis.

Plutôt que de Bibles, de prophètes, et d'adorateurs, ce temple sera rempli avec des serveurs, des experts du renseignement informatique, et des gardes armés. Et au lieu d'écouter les mots qui coulent du ciel, ces nouveaux arrivants seront secrètement en train de capturer, stocker et analyser de vastes quantités de mots et d'images fonce à travers les réseaux de télécommunications dans le monde.

Dans la petite ville de Bluffdale, Big Love et Big Brother sont devenus des constructions voisines.En cours de construction par des entrepreneurs avec des autorisations  top-secrètes , le benoîtement nommée Utah Data Center pour la National Security Agency...

Un projet du secret immense, il est la dernière pièce dans un puzzle complexe assemblé durant la dernière décennie.

Son but: intercepter, déchiffrer, analyser et stocker de vastes zones de communications dans le monde comme ils zappent vers le bas, à partir de satellites et zip à travers les câbles souterrains et sous-marins du droit international, étranger, et les réseaux domestiques.

Le centre fortifié à 2 milliards de dollars  devrait être opérationnel en Septembre 2013.

Traversant les serveurs et les routeurs,toutes les formes de communication, y compris le contenu complet des e-mails privés, des appels de téléphone cellulaire, et les recherches Google, ainsi que toutes sortes de données personnelles, sentiers de stationnement reçus, les voyages itinéraires, les achats de librairie, et autres "détritus de poche» numérique seront  stockées dans des bases de données quasi-sans fond.

C'est,  dans une certaine mesure, la réalisation du «Total Information Awareness" programme créé durant le premier semestre de l'administration Bush, un effort qui a été tué par le Congrès en 2003 après avoir provoqué un tollé au cours de son potentiel pour envahir la vie privée des Américains.Mais "ce n'est rien de plus qu'un simple centre de données», déclare un haut responsable du renseignement qui, jusqu'à récemment été impliqué avec le programme.Le centre  mammouth Bluffdale aura un autre rôle important et beaucoup plus secret qu'il a été révélé jusqu'à présent.Il est également essentiel, dit-il, pour casser les codes.

Et le code-rupture est crucial, car une grande partie des données financières, les transactions boursières, les transactions commerciales, étrangers des secrets militaires et diplomatiques, documents juridiques, les communications confidentielles personnelles  que le centre gérera-seront fortement cryptées.

Selon un autre haut fonctionnaire ayant également participé au programme, la NSA a fait une percée énorme il y a quelques années dans sa capacité à cryptanalyser, ou casser  les systèmes de cryptage complexes utilisés par, non seulement les gouvernements du monde entier, mais aussi de nombreux utilisateurs d'ordinateurs en moyenne aux États-Unis . Le résultat, selon ce responsable: "Tout le monde est une cible, tout le monde de la communication est une cible."

Pour la NSA, débordant avec des dizaines de milliards de dollars en prix post-9/11 budgétaires, la percée la cryptanalyse est venue à un moment de croissance explosive, de la taille ainsi que de la puissance.

Établi comme un bras du ministère de la Défense à la suite de Pearl Harbor, dans le but principal d'empêcher une autre attaque surprise, la NSA a subi une série d'humiliations dans les années après-guerre froide.

 Pris offguard par une escalade d’ attaques terroristes -le bombardement le World Trade Center, l'explosion des ambassades américaines en Afrique de l'Est, l'attaque contre le USS Cole au Yémen, et enfin la dévastation de 9/11-some, on commence à s’interroger sur la bonne raison d’être de l’agence.

En réponse, la NSA, discrètement, renaît. Et tandis qu'il y a peu d'indication si son efficacité réelle s’est améliorée, après tout, en dépit de nombreux éléments de preuve et de renseignement des occasions, il a raté les attaques quasi-désastreuses tenté par le bombardier  sur un vol à destination de Detroit en 2009 et par la voiture bombardier à Times Square en 2010-il ne fait aucun doute qu'il s'est transformé en l'agence de renseignement le plus important, plus secrèt, et potentiellement le plus intrusif jamais créée.

UTAH DATA CENTER

Lorsque la construction sera achevée en 2013, la fortifiée à 2 milliards de dollars en installations Bluale comprendra 1 million de pieds carrés.

1-Visiteurs du centre de contrôle

Une installation de 9,7 millions de dollars pour veiller à ce que le personnel  soit seulement autorisé à accéder.

2 Administration

L'espace désigné pour l'assistance technique et le personnel administratif.

3-salles de données

Quatre de 25.000 pieds carrés d'installations rangées et des rangées de maisons serveurs.

4-Générateurs de secours et les réservoirs de carburant

Peut alimenter le centre pendant au moins trois jours.

5-Stockage de l'eau et de pompage

Capable de pomper 1,7 million de gallons de liquide par jour.

6-l'eau glacée

Environ 60.000 tonnes de matériel de refroidissement pour maintenir les serveurs de la surchauffe.

7-sous-station électrique

Une sous-station électrique pour répondre a estimé le centre 65-mégawatt la demande.

8-Sécurité

La surveillance vidéo, détection d'intrusion, et de la protection d'autres coûtera plus de $ 10 millions.

Source: U.S. Army Corps of Engineers Conceptual Site plan 

Une bande de brouillard givrant recouvert de Salt Lake City, dans la matinée du 6 Janvier 2011, le mélange avec un revêtement d'une semaine de smog épais gris. Les alertes de Red air, mettant en garde les gens à rester à l'intérieur, sauf si absolument nécessaire, était devenu occurrences presque quotidiennes, et la température était dans les années vingt glaciales. "Qu'est-ce que je sens et le goût est comme la fumée de charbon," se plaint un blogueur local ce jour-là.

A l'aéroport international de la ville, de nombreux vols à l'arrivée ont été retardés ou détournés tout en sortant des jets régionaux ont été mis à la terre. Mais, parmi ceux qu'il fait à travers la brume glacée était un personnage dont costume gris et cravate lui fit presque disparaître dans l'arrière-plan. . Il était grand et mince, avec le physique d'un joueur de basket vieillissement et sombres sourcils chenilles sous une épaisse abondance decheveux.

Accompagné par un cortège de gardes du corps, l'homme est le directeur adjoint de la NSA, Chris Inglis, le plus haut gradé de l'agence civile et la personne qui a couru à travers le monde ses jours à des opérations courantes.Un peu plus tard, Inglis est arrivé à Bluffdale sur le site du futur centre de données, dans un appartement, près d'une piste non goudronnée sur une partie peu fréquentée du camp Williams, un site de la Garde nationale de formation.

Là, dans une tente blanche mis en place pour l'occasion, Inglis a rejoint Harvey Davis, directeur associé de l'agence pour les installations et la logistique, et de l'Utah le sénateur Orrin Hatch, avec quelques généraux et des politiciens pour une une cérémonie surréaliste.

Permanence dans un bac à sable en bois et impair détenant de l'or-peints pelles, ils ont fait jabs maladroits au sable et donc officiellement cassé la terre sur ce que les médias locaux avaient tout simplement surnommé «le centre d'espionnage."

En espérant pour certains plus de détails sur ce qui allait être construit, les journalistes se tourna vers l'un des invités, Lane Beattie de la Chambre de Commerce de Salt Lake.

At-il une idée de l'objectif derrière la nouvelle installation dans son jardin? "Absolument pas", dit-il avec un rire moitié consciente. "Je ne veux les espionner sur moi."

Pour sa part, Inglis simplement engagé dans un peu de double langage, mettant l'accent sur l'aspect le moins menaçant du centre: «C'est un centre de l'état de l'art conçu pour soutenir la communauté du renseignement dans sa mission de, à leur tour, permettent et de protéger la cybersécurité de la nation. " Alors que la cybersécurité sera certainement parmi les domaines ciblés dans Bluffdale, ce qui est collecté, comment il est recueilli, et ce qui est fait avec le matériel sont des questions beaucoup plus importantes.

Le combat contre les pirates fait pour une belle couverture, il est facile à expliquer, et qui pourrait être contre? Ensuite, les journalistes se tourna vers Hatch, qui a fièrement décrit le centre comme «un grand hommage à l'Utah», puis a ajouté: «Je ne peux pas vous en dire beaucoup sur ce qu'ils vont faire, car il est hautement classifié."

E t puis il y avait cette anomalie: Bien que ce n'était soi-disant le fonctionnaire révolutionnaire pour le projet de la nation la cybersécurité plus grand et le plus cher, aucune personne de la Department of Homeland Security, l'agence responsable de la protection des réseaux civils de cyberattaque, a parlé de la chaire.

En fait, le fonctionnaire qui avait introduit à l'origine le centre de données, lors d'une conférence de presse à Salt Lake City en Octobre 2009, n'avait rien à voir avec la cybersécurité. C’était Glenn A. Gaffney, directeur adjoint du renseignement national pour la collecte, un homme qui avait passé presque toute sa carrière à la CIA. En tant que chef de la collecte pour la communauté du renseignement, il a réuni espions de l'homme et électroniques du pays.

Quelques jours plus tard, la tente et bac à sable et pelles en or aurait disparu et Inglis et les généraux seraient remplacés par quelque 10.000 travailleurs de la construction. "Nous avons été priés de ne pas parler du projet," Rob Moore, président de Big-D Construction, l'un des trois principaux sous-traitants travaillant sur le projet, a déclaré à un journaliste local.

Les plans pour le centre montrent un système de sécurité important: un système complexe de 10 M $ du programme de protection anti-terroriste, y compris une clôture destinée à arrêter un véhicule de 15.000 livres de voyage de 50 miles par heure, caméras en circuit fermé, un système d'identification biométrique, une installation d'inspection des véhicules , et un centre d'accueil de contrôle. A l'intérieur, l'installation se compose de quatre 25 000 pieds carrés salles remplies de serveurs, avec espaces de plancher surélevé pour les câbles et de stockage. En outre, il y aura plus de 900.000 pieds carrés pour un soutien technique et de l'administration.

L'ensemble du site sera auto-entretenue, avec grands réservoirs de carburant suffisante pour alimenter les générateurs de secours pendant trois jours dans un stockage de l'eau d'urgence, avec la capacité de pompage de 1,7 millions de gallons de liquide par jour, ainsi que d'un système d'épuration et de l'air massif système de climatisation pour maintenir tous ces serveurs cool.

L’ électricité viendra à partir du poste propre du centre construit par Rocky Mountain Power pour satisfaire la demande de puissance de 65 mégawatts. Une telle quantité d'énergie gigantesque est livré avec un prix de mammouth tag-environ $ 40 millions par an, selon une estimation.

Compte tenu de l'échelle de l'établissement et le fait que d'un téraoctet de données peuvent désormais être stockés sur un lecteur flash de la taille de pinky d'un homme, le montant potentiel de l'information qui pourrait être logé dans Bluffdale est véritablement stupéfiant. Mais de même que la croissance exponentielle de la quantité de données de renseignement étant produites chaque jour par les capteurs d'écoute de la NSA et autres agences de renseignement.

E n conséquence de cette «gamme élargie de réseaux de salles de capteurs aéroportés et d'autres," en tant que ministère de la Défense 2007 du rapport de la met, le Pentagone tente d'étendre son réseau mondial de communication, connu sous le nom Global Information Grid, pour gérer yottabytes (1024 octets) de données. (A yottabyte est un septillion octets-si grand que personne n'a encore inventé un terme pour l'ampleur immédiatement supérieur.) Il faut de la capacité parce que, selon un récent rapport de Cisco, le trafic Internet mondial va quadrupler de 2010 à 2015, atteignant 966 exaoctets par an. (Un million de exaoctets égaler un yottabyte.) En termes d'échelle, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, estime que le total de toutes les connaissances humaines créées à partir de l'aube de l'homme de 2003 ont totalisé 5 exaoctets.

(PLAN 2)

1 Geostationary satellites

Quatre satellites positionnés autour des fréquences du moniteur globe emportent  des talkies-walkies et les téléphones cellulaires en Libye à des systèmes radar en Corée du Nord. Le logiciel embarqué joue le rôle de premier filtre dans le processus de collecte, de cibler des régions clés, que les pays, les villes, et les numéros de téléphone ou par courriel.

2 Aerospace Data Facility, Buckley Air Force Base, Colorado

L es renseignements recueillis à partir des satellites géostationnaires, ainsi que les signaux de satellite et d'autres postes d'écoute à l'étranger, sont relayés à cette installation à l'extérieur de Denver. Environ 850 employés de la NSA suivent les satellites, transmettent des informations cible, et téléchargent les courriers de renseignement.

3-NSA Georgia, Fort Gordon, Augusta, Georgia

Met l'accent sur interception en provenance d'Europe, le Moyen-Orient et Afrique du Nord. Baptisée Sweet Tea, l'installation a été considérablement élargi et comprend maintenant un bâtiment 604000 pieds carrés opérations pour un maximum de 4.000 opérateurs d'interception, les analystes et autres spécialistes.

4 NSA Texas, Lackland Air Force Base, San Antonio

Met l'accent sur interception d'Amérique latine et, depuis 9/11, le Moyen-Orient et en Europe. Quelque 2.000 travailleurs du personnel de l'opération. La NSA a récemment terminé une rénovation de 100 millions $ sur un centre de méga-données-là une installation de stockage de sauvegarde pour le Centre de l'Utah de données.

5 NSA Hawaii, Oahu

Met l'accent sur interception en provenance d'Asie. Construit pour accueillir une usine d'assemblage d'avions au cours de la Seconde Guerre mondiale, le bunker de 250.000 pieds carrés est surnommé le trou. Comme les autres centres des opérations NSA, il a depuis été élargi: Ses 2700 employés maintenant de faire leur travail hors-sol à partir d'une nouvelle 234000-pieds carrés.

6 Domestic listening posts

La NSA a longtemps été gratuite pour écouter les communications internationales par satellite. Mais après 9/11, elle a installé les robinets aux États-Unis de télécommunications "bascule", donnent accès à des trafic intérieur. Un fonctionnaire ex-NSA dit qu'il ya 10 à 20 de ces installations.

7 Overseas listening posts

Selon une source de renseignement bien informé, la NSA a installé les robinets sur au moins une douzaine de les principaux liens de communication d'outre-mer, chacun étant capable d'écoute sur l'information en passant par à un taux élevé de données

8 Utah Data Center, Bluffdale, Utah

A un million de pieds carrés, cet établissement de 2 milliards de dollars de stockage numérique à l'extérieur de Salt Lake City sera la pièce maîtresse de la NSA, cloud stratégie de données et essentielle dans ses plans pour déchiffrer les documents précédemment inviolable.

9 Multiprogram Research Facility, Oak Ridge, Tennessee

Quelque 300 scientifiques et ingénieurs en informatique ayant une clairance de haute sécurité travaillent dur ici,à la construction superordinateurs les plus rapides du monde et travaillent sur des applications cryptographiques et d'autres projets secrets.

10-NSA headquarters, Fort Meade, Maryland

Les analystes ici auront accès au matériel stocké Bluffdale afin de préparer des rapports et des recommandations qui seront envoyés aux décideurs. Pour supporter la charge accrue des données, la NSA est également en construction d'un supercalculateur 896 millions de dollars ici.

Avant que les yottabytes de données provenant du web profond peuvent commencer à s'accumuler à l'intérieur des serveurs du nouveau centre de la NSA, elles doivent être collectées. Pour mieux y parvenir, l'agence a subi le plus grand boom de construction dans son histoire, y compris l'installation de chambres secrètes de surveillance électronique dans les grandes installations de télécommunications des États-Unis.

Contrôlé par la NSA, ces espaces sont hautement sécurisés où les robinets d'agence dans les réseaux de communication des États-Unis, une pratique qui est venu à la lumière durant les années Bush, mais n'a jamais été reconnu par l'organisme. Les grandes lignes du soi-disant mandat-écoute du programme ont été longtemps le faire-valoir de la NSA,et ont secrètement et illégalement contourné le Foreign Intelligence Surveillance Court, qui était censé superviser et autoriser la très ciblée écoute intérieure, la façon dont le programme permet le suivi du gros de millions d'appels téléphoniques américains et le courrier électronique. Dans le sillage de l'exposition du programme, le Congrès a adopté les amendements de la FISA Loi de 2008, qui a largement fait les pratiques juridiques.

Les Télécoms qui avaient accepté de participer à l'activité illégale ont obtenu l'immunité de poursuites et de procès. Qu'est-ce n'a pas été révélée jusqu'à présent, cependant, était l'énormité de ce programme continue d'espionnage intérieur.

Pour la première fois, un ancien fonctionnaire NSA est allé dans le dossier pour décrire le programme, nom de code du vent stellaire, dans le détail. William Binney était une personne âgée NSA, crypto-mathématicien en grande partie responsable de l'automatisation du réseau de l'agence d'écoute dans le monde entier. Un homme de haute taille avec des brins de cheveux noirs sur le devant de son cuir chevelu et sombres, les yeux déterminés derrière d'épaisses lunettes cerclées, le 68-ans passés près de quatre décennies de rupture des codes et de trouver de nouvelles façons de milliards de canaux d'appels téléphoniques privés et e-mail messages du monde entier dans des bases de bombement de la NSA. En tant que chef et l'un des deux cofondateurs de l'agence Centre Signals Intelligence Automation Research, Binney et son équipe ont conçu une grande partie de l'infrastructure qui est encore susceptible d'être utilisée pour intercepter les communications internationales et étrangères.

Il explique que l'agence pourrait avoir installé son train tapant à la nation stations d'atterrissement des câbles-les sites plus de deux douzaines sur la périphérie des États-Unis, où câbles à fibres optiques viennent à terre. Si elle avait pris cette route, la NSA aurait pu limiter son écoute pour seulement les communications internationales, qui à l'époque était tout ce qui a été autorisé par la loi des États-Unis.

Au lieu de cela il a choisi de mettre les chambres d'écoutes téléphoniques dans les points de jonction clés tout au long des pays de grands bâtiments sans fenêtres connus comme des interrupteurs-gagnant ainsi accès non seulement à des communications internationales, mais aussi à la plupart du trafic intérieur circulant à travers les États-Unis.

Le réseau de stations d'interception va bien au-delà de la seule pièce dans un immeuble AT & T à San Francisco exposée par un dénonciateur en 2006. "Je pense qu'il ya 10 à 20 d'entre eux," Binney dit. "Ce n'est pas seulement San Francisco, ils les ont dans le centre du pays et aussi sur la côte Est."

Les écoutes sur les Américains ne s'arrêtent pas au niveau des commutateurs de télécommunications. Pour capturer les communications par satellite dans et hors des États-Unis, l'agence surveille également AT & T stations terriennes des puissants, des récepteurs satellite dans les régions qui comprennent des Roaring Creek et Salt Creek. Niché sur une route de retour dans les zones rurales Catawissa, en Pennsylvanie, Roaring Creek trois 105-pieds plats gérer une grande partie de communications du pays à destination et en provenance d'Europe et du Moyen-Orient.  Et sur ​​un tronçon isolé de la terre dans les régions éloignées Arbuckle, Californie, trois plats similaires au service de l'entreprise de Salt Creek station de la côte du Pacifique et en Asie.

"L'ancienne NSA officielle qui s'est tenue le pouce et l'index rapprochés: «Nous sommes très loin d'un état clé en main totalitaire."

Binney a quitté la NSA à la fin 2001, peu de temps après que l'agence ai lancé son mandat-écoute du programme. "Ils ont violé la Constitution, avec cette mise en place,» dit-il sans ambages. "Mais ils ne s'en soucient pas. Ils allaient le faire quand même, et ils allaient crucifier quiconque qui se tenait sur le chemin. Quand ils ont commencé à violer la Constitution, je ne pouvais pas rester. " dit Binney. Le vent stellaire était beaucoup plus important que ce qui a été révélé publiquement et comprenait non pas seulement l'écoute des appels téléphoniques nationaux, mais l'inspection du courrier électronique interne. « Au départ, le programme a enregistré 320 millions d'appels par jour, dit-il, ce qui représente environ 73 à 80 pour cent du volume total d'interceptions à travers le monde de l'agence. Le courrier n'a augmenté que de là. » Selon Binney-qui a maintenu des contacts étroits avec les employés de l'agence jusqu'à ce que il ya quelques années-les robinets dans les chambres secrètes qui parsèment le pays sont effectivement alimentés par des logiciels très sophistiqués qui effectuent des «deep packet inspection», l'examen du trafic Internet passe à travers les câbles de 10 gigabit par seconde à la vitesse de la lumière.

Le logiciel, créé par une compagnie appelée Narus fait maintenant partie de Boeing, est contrôlé à distance depuis le siège de la NSA à Fort Meade dans le Maryland et recherche des sources américaines pour les adresses cibles, les lieux, les pays et les numéros de téléphone, ainsi que regarder coté noms, mots-clés, et des phrases dans e-mail.Toute communication qui éveille des soupçons, en particulier ceux en provenance  de millions de citoyens sur les listes de surveillance des agences, seront automatiquement copiées ou enregistrées, puis transmises à la NSA.

Une fois que les communications sont interceptées et enregistrées, le data-mining commence.

En secret dans des salles d'écoute nationale, le logiciel de la NSA examine chaque e-mail, appel téléphonique, et tweet . Mais il n’ya, bien sûr, pas de raison pour quiconque d'être en détresse sur la pratique.

Une fois que la porte est ouverte pour le gouvernement d'espionner les citoyens américains, il ya souvent de grandes tentations d'abuser de ce pouvoir à des fins politiques, comme lorsque Richard Nixon avait espionné ses ennemis politiques pendant le Watergate et ordonné la NSA d'espionner les manifestants anti-guerre. Ces abus et d'autres ont invité le Congrès à adopter des interdictions dans les années 1970 contre l'espionnage domestique.

Ils ont eu la brush-off. "Ils ont dit, oh, OK, nous ne pouvons pas commenter," dit Binney .

Assis dans un restaurant non loin du siège de la NSA, l'endroit où il a passé près de 40 années de sa vie,   Binney a tenu pouce et l'index rapprochés."nous sommes comme dans un état totalitaire, les clés en mains" dit-il

Ainsi, l'organisme avait un grand principe, un stockage massif de données installation-en cours. Pendant ce temps, à travers le pays dans le Tennessee, le gouvernement a travaillé dans le plus grand secret sur ​​l'autre élément essentiel: l'ordinateur le plus puissant du monde ait jamais connu. Le plan a été lancé en 2004 comme un projet moderne de Manhattan. Surnommé le Calcul Haute productivité des systèmes du programme, son objectif était de faire progresser la vitesse des ordinateurs mille fois, la création d'une machine qui pourrait exécuter un quadrillion (1015) d'opérations par seconde, connue sous le nom de pétaflop, soit l'équivalent informatique de battre le record de vitesse sur terre.

Et comme avec le Projet Manhattan, le lieu choisi pour le programme supercalculateur était la ville d'Oak Ridge, dans l'est du Tennessee, une région rurale où arêtes vives cèdent la place à de faibles, de collines éparses, et le sud-ouest-qui coule Clinch River Bends fortement au sud-est . À 25 miles de Knoxville, c'est la "ville secrète" où l'uranium-235 a été extraite pour la première bombe atomique.U n signe près de la sortie comme suit: ce que vous voyez ici, ce que vous faites ici, ce que vous entendez ici, quand vous sortirez d'ici, laissez-le ici. Aujourd'hui, non loin de cet endroit,se trouve Oak Ridge, foyer du ministère de l'Énergie de Oak Ridge National Laboratory, et il est engagé dans une guerre secrète nouvelle. Mais cette fois, au lieu d'une bombe de puissance presque inimaginable, l'arme est un ordinateur de la vitesse presque inimaginable.

La percée était énorme, dit l'ancien fonctionnaire, et bientôt après, l'agence tirera l'ombre vers le bas, serrée sur le projet, même au sein de l'intelligence et de la communauté du Congrès."Seul le président et le vice-président et les deux directeurs du personnel de chaque comité du renseignement ont dit à ce sujet," dit-il. La raison? "Ils pensaient que cette percée informatique va leur donner la capacité à se fissurer en cours de chiffrement publique."

La NSA croit qu'il est sur ​​le point de casser une clé de chiffrement algorithme ouverture des hordes de données.

Mais en dépit de ses progrès, l'agence n'a pas fini de construire à Oak Ridge, et il n'est pas satisfait de briser la barrière du pétaflop. Son prochain objectif est d'atteindre la vitesse exaflopique, un trillion (1018) d'opérations par seconde, et finalement zettaflop (1021) et yottaflop.

Mais la vraie compétition aura lieu dans le domaine classé.

Dans l'intervalle Cray travaille sur la prochaine étape pour la NSA, financé en partie par un contrat de 250 millions de dollars avec la Defense Advanced Research Projects Agency.

Il s'agit d'un supercalculateur massivement parallèle appelée Cascade, un prototype de ce qui est dû à la fin de 2012.

Son développement se déroulera en grande partie en parallèle avec l'effort non classifié pour le DOE et d'autres agences partenaires.Ce projet, en 2013, permettra d'améliorer la Jaguar XT5 dans un XK6, nom de code Titan, augmentant sa vitesse de 10 à 20 petaflops

James Bamford (washwriter@gmail.com) is the author of The Shadow Factory: The Ultra-Secret NSA from 9/11 to the Eavesdropping on America.