Nous mentirait-on?

Nous mentirait-on?

3 raisons qui feront sortir la France de l'Euro

 

VENDREDI 4 MAI 2012

Sur Gold-up aujourd'hui, voici les 3 raisons pour lesquelles la France sortira de l'Euro ou plongera dans le chaos. Lisez attentivement cet article et suivez les vidéos.

 

1- Fin avril, un groupe important d'économistes franco-allemands ont alerté les gouvernements que :

 "Treize ans après le lancement de l’euro, il est patent que non seulement cette expérience n’a tenu aucune de ses promesses, mais même que sa poursuite risque de déboucher sur le chaos." (Lisez l'appel ici)

 

2- Un banquier allemand en contact avec Jim Willie l'aurait informé qu'à la suite d'une réunion de haut niveau en Allemagne, une décision a été prise pour que la France soit le premier pays à sortir de la monnaie euro .

Vous lirez cette info étonnante qu'une banque centrale des pays européens du sud pourrait être établie à Marseille.

 

 

3- Un inspecteur général des finances fait la démonstration implacable que la construction de l'Euro est une volonté des fameuses officines et qu'elle mènera au chaos (je souligne que je n'appartiens à aucun parti politique).

 

Vous y découvrirez des révélations étonnantes sur la manière dont l'opinion est manipulé !

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xkhjyw_1-4-f-asselineau-faut-il-avoir-peur-de-sortir-de-l-euro_news#from=embediframe

 

 

 

http://www.marianne2.fr/Un-appel-franco-allemand-d-economistes-pour-une-sortie-paisible-de-l-euro_a217204.html

Il n’y avait pas foule ce vendredi 27 avril matin dans les salons de l’hôtel Bedford. Il faut dire que la réunion programmait non pas un de ces défilés de lingeries relayés jusque dans les 20h des chaines nationales, mais une austère réunion d’économistes allemands et français. Et le thème, proposer une sortie pilotée de l’euro, n’avait rien pour allécher les grands média nationaux tout occupés à la campagne et peu curieux de ce genre de propos. Avec Marianne, un autre média français avait fait le voyage en métro pour venir écouter cet étrange attelage où se mêlaient coté français outre des économistes de l’université quelques représentants du patronnat.

 

« Je ne comprends pas ce que fait un libéral comme Wilhelm Nölling avec ces Français, plutôt portés sur le protectionnisme », s’étonnait le correspondant parisien d’un des principaux quotidiens allemands, le Frankfurter Allgemeine Zeitung qui, davantage habitué à couvrir Bercy et l’Elysée,  et plus attentif que ses confrères des Echos ou du Monde, avait pourtant fait le déplacement. Ancien député du SPD et professeur d’économie, c’est surtout la casquette de co-auteur du recours contre le système de sauvetage de la Grèce devant la cour constitutionnelle de Karlsruhe (l’équivalent de notre conseil constitutionnel dans la république fédérale) qui avait motivé notre confrère. De même que la présence parmi les signataires du projet de sortie de l’euro de Dieter Spethmann, l’ancien patron de Thyssen. Un peu comme si Serge Dassault s’était publiquement prononcé pour une sortie de la monnaie unique.

 

Techniquement le projet - résumé par leur appel publié ci-dessous) ressemble comme deux gouttes d’eau à l’implémentation de la marche vers l’euro telle qu’elle fut menée à la fin des années 90 mais à l’envers. En tout cas, sur le papier cela semble fonctionner. Pour eux, les gains futurs sont immenses au regard des coûts de cette explosion. Parmi les principales lignes de la facture d’un tel big bang, on trouve d’une part la coûteuse spéculation que les marchés financiers feront inévitablement subir à tous les pays durant la période de transition (ca peut être très sanglant), et d’autre part  le coût important du renchérissement de la dette des pays qui, comme la France, s’orienteraient vers une nouvelle monnaie dévaluée par rapport à l’euro comme le serait l’hypothétique euro-franc.

 

Mais pour les signataires de l'appel, ces sacrifices sont sans commune mesure avec le coût du statu quo. Leur analyse : la situation économique de l’Union européenne est plombée par la monnaie unique. Et il ne saurait en être autrement. A l’appui de leur thèse, il leur est loisible de pointer la crise que traverse notre continent, sans que la moindre solution pérenne n’émerge.

 

« Notre pays a continuellement réévalué sa monnaie pour la plus grande satisfaction de ses travailleurs, qui voyaient leur pouvoir d’achat s’apprécier, quand leurs patrons ont toujours été contre. Avec la monnaie unique, c’en est fini. L’Allemagne ne peut plus remettre sa monnaie à sa véritable valeur et limiter les déséquilibres avec les autres pays de l’Union», explique Wilhelm Nölling. Et comme l’Allemagne ne veut pas payer pour la Grèce, c’est à dire reverser directement ou indirectement les incroyables surplus que sa puissance industrielle dégage et qui sont l’autre face des énormes déficits de la république hellénique, l’équation pourrait ne pas avoir de solution. Pas question de faire ce que fit la République Fédérale avec la République démocratique lors de la chute du mur de Berlin : assumer une parité de un pour un entre les deux marks ce qui induisait un transfert de richesse de plusieurs centaines de milliards de marks annuel sur une longue période. 

 

 

Evidemment, la présence de signataires de cet appel figurant parmi les poids lourds du patronat allemand ne signifie pas qu’une majorité d’entre eux adhérent à cette option. Mais la distinction est de taille entre l’uniformité apparente du Medef officiellement opposé à toute sortie de la monnaie unique.

 

Bref, le débat semble plus ouvert outre-Rhin que de ce côté-ci du fleuve. Débat qui se prolonge même au sein du très libéral et très pro euro journal britannique The Economist. Dans Charlemagne, sa chronique phare, l'hebdomadaire notait le 7 avril dernier : « un processus concerté augmente les chances de sauver de ce démontage les autres grains de l’intégration européenne, notamment le marché unique. »

 

APPEL AUX GOUVERNEMENTS D’UN GROUPE D’EXPERTS ÉCONOMIQUES FRANÇAIS ET ALLEMANDS RÉUNIS À DÜSSELDORF 27 AVRIL 2012

 

 

 

 

 

http://www.marketoracle.co.uk/Article34326.html

 

(extrait)

[...]

 

CHOC & AWE INTÉRIEUR EN EUROPE CENTRALE

 Un contact banquier allemand informe que, par suite d'une réunion de haut niveau en Allemagne (pas dans les nouvelles), une décision a été faite pour la France de sortir de la monnaie Euro en premier.

  Indépendamment du fait que Sarkozy Hollande fait campagne pour le poste président, les Français ont été instruits sur la façon dont des entreprises sera effectuée.

Aucune autre information, comme si la France allait revenir à la monnaie Franc et ne pas risquer une dévaluation Euro sévère et après l'Allemagne et aux Pays-Bas partent.

Mon impression est que l'Allemagne va lancer une nouvelle monnaie très bientôt.

Peut-être qu'ils voudraient que la France prenne une partie de l'attention et pour commencer le processus chaotique.

Le contact a toujours affirmé que la France ne serait pas inclu dans les nouveaux Euro nordiques, un groupe de base exlusif des nations d'Europe centrale qui se qualifient en ayant un excédent du compte courant. La dette française est trop grande, et probablement bientôt s'étendre bien pire.

Il dit que la France allait devenir un pupille de l'État allemand, avec la politique dictée et de la direction. Gardez à l'esprit que l'Allemagne possède 90% de la dette française Govt. Il reste à voir si la France prendra la position de leader parmi les cochons, dont les nations seront toutes allées à la dérive. Les rumeurs d'une Banque centrale euro latine situé à Marseille ont été une fois filé.

[...]



08/05/2012

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